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2021 G&G Gallery Ibiza

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2016 Pool art fair Guadeloupe

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© Jean-Marc Hunt 2016

© Jean-Marc Hunt 2016

Série Argent Noir, peinture sur aluminium 2016

Série Argent Noir, peinture sur aluminium 2016

Astre Noir, sculpture installation, fer galvanisé soudé et peint, 2016

Astre Noir, sculpture installation, fer galvanisé soudé et peint, 2016

2016 Pool art fair Guadeloupe
Conférence sur l'art caribéen international avec Jean-Marc Hunt, Thierry Alet, Omar Lopez Chahoud, Joelle Ferly

Conférence sur l'art caribéen international avec Jean-Marc Hunt, Thierry Alet, Omar Lopez Chahoud, Joelle Ferly

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2015 Résidence Sénégal

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Résidence d'artistes à Saint-Louis du Sénégal organisé par les Anneaux de la Mémoire en partenariat avec la Fnotsis, du 4 au 30 novembre 2015. Artistes sélectionnés : Mballo Kebe (Sénégal), Jean-Marc Hunt (Guadeloupe), Hervé Youmbi (Cameroun), Philippe Monges (France), Bassène Louis (Sénégal), Mamadou Lamine Seck (Sénégal), Mamadou Konté (Sénégal). Exposition internationale itinérante programmée en 2016/2017.

2015 Résidence Sénégal
2015 Résidence Sénégal
2015 Résidence Sénégal
2015 Résidence Sénégal
2015 Résidence Sénégal
2015 Résidence Sénégal
2015 Résidence Sénégal
2015 Résidence Sénégal
2015 Résidence Sénégal
Crédits photos ©Hervé Youmbi ©Jean-Marc Hunt

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2015 Groupshow Haïti

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Group show du 20 au 30 août 2015, Expression Gallery, Pétionville, Haïti.

Organisé par Coreca / ICFC Guadeloupe pour XIIe Carifesta

Série Baron de Negropolis 2015 ©Jean-Marc Hunt

Série Baron de Negropolis 2015 ©Jean-Marc Hunt

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2015 Soloshow Negropolis

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Negropolis solo show du 19. déc . 2014  au 25 janv. 2015, Fondation Clément Martinique Fwi

  

 

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2009 Soloshow Negropolitan Museum

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Negropolitan Museum solo show 20 nov au 19 déc 2009, Musée Lherminier, Guadeloupe Fwi.

 

NegropolitanMuseum

 

(..) Dans le travail actuel de Jean-Marc Hunt, des figures monumentales et  tourmentées se déploient avec toute la force d’un tracé exécuté fermement au pinceau sans dessin sous-jacent, ce qui implique l’assurance et l’intention expressive de l’artiste.

Son graphe expressionniste se détache sur un fond presque totalement blanc, une tache très pale et de faible étendue cohabite par contraste avec l’agressivité d’un geste plus graphique que pictural. Le choix qui consiste à travailler sur une toile pratiquement vierge dévoile le refus de tout bavardage inutile. Il fonde l’acte de peindre sur une monstration ironique, abrupte, des éléments mis en relations plastiques.

La peinture n’est plus l’illustration d’une activité social. L’art n’a pas besoin de surcroit d’activité sociale pour exister, c’est une activité sociale en soi.  J’insiste : nulle anecdote, point de description démonstrative, mais un humour féroce visible dans ces figures aux cous distendus, cassés, reposant lamentablement sur une épaule. On voit des visages hagards, des bouches édentées, mains et pieds n’ayant que quatre doigts. Sont-ce des hommes-singes?

Quant aux couleurs pastels et dégoulinantes jetées ça et là au travers des corps quasi transparents, elles tempèrent quelque peu les lignes de contour des ces personnages au dessin exaspéré (..)

Christian Bracy, critique d’art. Extrait « Une collection d’art contemporain en Guadeloupe », Collection Art Public,  éditions Skira Flammarion 2010

Maitre-Chien, 2009, 200 x 154 cm, Collection Art Public Guadeloupe

Maitre-Chien, 2009, 200 x 154 cm, Collection Art Public Guadeloupe

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2014 Soloshow Negropolitan Traffic

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Negropolitan traffic - solo show 22.03 > 09.05.2014 - galerie 14°N 61°W, Martinique Fwi05.jpg

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2012 Workshop Belle Créole

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Workshop & group show 19.12.2011 > 13.01.2012 - Galerie T&T Art Contemporain Jarry, Guadeloupe Fwi

Maryse Condé (auteur), Thierry Alet (plasticien), Jean-Marc Hunt (plasticien)

Curator : Elisabeth Gustave

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"Le temps des assassins" Fresque - 300 x 1000 cm - Hunt 2011

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2012 Global Caribbean IV Miami

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Global Caribbean IV group show du 7 déc. 2012 au 16 fév. 2013 Little Haïti Cultural Center Miami, Florida USA

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Alice acrylic on canvas 2010 ©Jean-Marc Hunt - Collection Fondation Clément

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2012 Carte Blanche Schoelcher Museum

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Vanités offset sculpture installation, work in progress, dimensions variables, 2011-2012

Vanités offset sculpture installation, work in progress, dimensions variables, 2011-2012

Bourse de création du Conseil Général de Guadeloupe, résidence Carte Blanche II à La Ramée, Guadeloupe  novembre 2011. Restitution du 9 janv. au 27 avril 2012 Musée Victor Schoelcher Pointe-à-Pitre, Guadeloupe Fwi (Catalogue)

Texte de Scarlett Jésus, critique d'art :  « Jean-Marc HUNT, comme Damien HIRST et d’autres artistes contemporains, s’empare de ce motif, pour le détourner en engageant, par le biais de l’humour, une réflexion critique sur nos sociétés et sur la place de l’œuvre d’art au sein de celles-ci. Le motif du crâne est d’ailleurs un thème récurrent dans l’œuvre de cet artiste, motif que l’on retrouve dans les graffitis de sa série « Street », très récemment dévoilée dans son atelier. Dans l’installation exposée au musée SCHOELCHER, le crâne lui-même est également présenté sous la forme d’une « série », rappelant à la fois la multiplication des biens de production de notre société de consommation, mais aussi une « collection » à l’image de celle que rassembla Victor SCHOELCHER et qui se trouve dans le musée. Etonnante « curiosité » que cette collection d’une douzaine de  crânes, disposés frontalement face au public, à l’entrée du musée. Collection dont la simple présence va avoir pour effet d’amener le visiteur à porter un regard différent sur les œuvres environnantes. Victimes d’un double enfermement puisque, rappelant les différentes statuettes sous vitrines, ces crânes sont comme enfermés à l’intérieur de cages faites de grillage et empilés par groupes de trois. Avec de faux airs de trophées de chasse, qui dénonceraient  les conditions de vie des individus, dans nos sociétés d’évoquer la Mort, de moxw< dernes. Mais qui font tout autant penser à un  reliquaire sacré, sorte de mur où se nicheraient les  crânes de suppliciés aztèques. L’impression qui domine reste finalement la dérision.  Les crânes colorés  et suspendus, se balançant au moindre souffle d’air, ne sont-ils pas une façon façon burlesque, comme le font de nos jours les Mexicains, « el dia de los muertos », avec les crânes sucrés ? Une façon d’évoquer à la fois la mort et la renaissance.» 

Sculpture, série vanités offset, 2015

Sculpture, série vanités offset, 2015

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2012 Street art Mythiq'27

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Gunstars & paillettes, acrylique et spray sur plaque offset, 2012

Gunstars & paillettes, acrylique et spray sur plaque offset, 2012

Mythiq'27 group show du 11 mai au 30 juin 2012, Abbaye de Ronceray, Angers France - curator : Yves suty              Festival international d'art urbain Artaq 2012

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2011 Studio exhibition

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2011 Studio exhibition

Oeuvres récentes Duo show en atelier avec Kelly Sinnapah Mary &  Jean-Marc Hunt  du 19 au 21 nov 2011 Baie-Mahault Guadeloupe

Texte "Dans les jungles contemporaines" de Scarlett Jesus, critique d'art : Tout le monde a en mémoire le tableau intitulé « la jungle », que Wifredo LAM a peint à son retour à Cuba,  en 1943, après son passage, en compagnie d’André BRETON, par la Martinique où il rencontra CESAIRE. Peinture qui fut, à juste titre, considérée comme le « premier manifeste plastique du Tiers-Monde ». Quel rapport les « Œuvres récentes » que Jean-Marc HUNT et Kelly SINNAPAH viennent conjointement d’exposer, les 19-20 novembre derniers à l’Atelier CILAOS de Baie-Mahault, entretiennent-elles avec cette œuvre à la fois surréaliste et emblématique de l’émergence d’un art caribéen ? Le choix des deux artistes s’est manifestement porté sur des paysages. Si, pour l’un, il s’agit de paysages urbains renvoyant à toute une culture underground contemporaine, les paysages de l’autre nous plongent dans l’univers bien particulier d’une Forêt magique, pleine de maléfices.  Dans les deux cas et bien que s’agissant de deux univers très spécifiques, leur mise côte à côte révèle, par contagion,  des similitudes et des effets de sens imprévus. Sans aller jusqu’au gigantisme de la « Jungle » de LAM, Jean-Marc HUNT affecte les grands formats et utilise, comme lui, le procédé du marouflage pour coller des dessins initialement réalisés sur papier.  Le moindre espace du tableau  est alors occupé, par surcharge parfois, pour exprimer la densité d’un environnement qui semble étouffer l’individu. Une jungle grouillante de vie mais dangereuse, lieu de menaces, d’agressions et de périls, parsemée de têtes de mort. Mais alors que l’espace de l’artiste  cubain obéit à une construction verticale, la jungle urbaine de l’artiste guadeloupéen, répond au principe d’empilement de bandes  elles-mêmes constituées  de vignettes, qui  forment finalement une superposition  de planches de bande dessinée. Comme autant d’étages d’un immeuble. A ces dessins, HUNT ajoutera ensuite des collages, des griffures, mêlant librement  des techniques appartenant à différents genres. Et bien sûr de la peinture. Mais dans des teintes délavées. De la peinture qu’il laisse volontairement couler ou avec laquelle il va recouvrir, en la délavant ici encore, les dessins initiaux. Pour lui donner une profondeur, à la fois spatiale et temporelle. Mais aussi pour suggérer l’usure du temps et la trace laissée par les intempéries sur les affiches placardées des murs de la Ville. La dizaine de toiles exposées font partie d’une même série, intitulée « Street », l’identification de chacune étant ensuite liée à une inscription qui contribue à lui donner sa coloration à la fois humoristique et ouvertement contestataire, « Street free DOM/TOM », ou « Street Love », « Street Loco » ou même « Street Sarkiste ». Cette dernière ne pouvant être, on s’en doutait, que d’une dimension plus petite. Kelly SINNAPAH, elle, est une très jeune artiste qui expose pour la première fois. Elle nous dévoile ses dessins, des dessins surchargés de feuillages et de personnages évanescents, aux côtés  d’un troublant collage à la résine, celui d’un oisillon mort. Trois toiles, très sombres, sont accrochées aux murs. Leurs titres évoquent le mystère, l’au-delà, « Elévation », « Messagère ». De même que leurs motifs : un oiseau noir (de malheur ?) punaisé de petits ex-voto de papiers roulés, un étrange petit homme vert à la tête de vieillard ou encore une composition surréaliste à la manière de LAM, associant une chaise avec ce qui apparaît comme des branches-membres. Toutefois, le plus curieux et peut-être le plus original, réside dans une troisième catégorie d’œuvres : des draps peints suspendus, parfois tendus, parfois tombant en plis drapés ou en déchirures. De véritables linges de maison, nous confie l’artiste, à la fois intimes et secrets, qui donnent leurs noms à la série : « Substituts ». Ne révélant une partie de leurs secrets qu’à ceux qui acceptent de  passer de « l’autre côté » de la toile, peinte en réalité des deux côtés. Afin que, derrière l’entremêlement des feuilles et des nervures, apparaissent par transparence d’autres feuillages, d’autres nervures. Donnant l’impression d’une toile en trois dimensions, sur laquelle se détachent parfois le tracé d’un visage impassible d’un « dormeur », ou un espace vierge esquissant une forme. A la façon d’un suaire. Nul doute que Kelly SINNAPAH n’a fait que soulever très légèrement le voile d’un imaginaire où s’enchevêtrent et se superposent les éléments d’une jungle qu’elle s’efforce elle-même de pénétrer. Le lien entre les deux univers de Jean-Marc HUNT et de Kelly SINNAPAH  se trouve renforcé par la présence, au milieu de l’atelier-forêt d’un énorme « Champignon » rouge-orangée, une installation à dimension variable, obtenue par empilement de cônes au moyen desquels  la DDE signale la présence de travaux sur la chaussée. Si les « œuvres récentes » de  ces artistes évoquent bien Wifredo LAM, leurs « jungles », à près de soixante-dix ans d’écart, s’inscrivent dans des problématiques très différentes, à la fois artistiques et personnelles. Une problématique qui, chez HUNT, relie le Street art  avec le concept développé par Edouard GLISSANT de « Chaos monde ». Celle, chez Kelly SINNAPAH d’une plongée dans une inextricable profondeur, hors de l’espace et du temps, où il serait possible de se fondre. Sans se perdre

Texte "Dans les jungles contemporaines" de Scarlett Jesus, critique d'art : Tout le monde a en mémoire le tableau intitulé « la jungle », que Wifredo LAM a peint à son retour à Cuba,  en 1943, après son passage, en compagnie d’André BRETON, par la Martinique où il rencontra CESAIRE. Peinture qui fut, à juste titre, considérée comme le « premier manifeste plastique du Tiers-Monde ». Quel rapport les « Œuvres récentes » que Jean-Marc HUNT et Kelly SINNAPAH viennent conjointement d’exposer, les 19-20 novembre derniers à l’Atelier CILAOS de Baie-Mahault, entretiennent-elles avec cette œuvre à la fois surréaliste et emblématique de l’émergence d’un art caribéen ? Le choix des deux artistes s’est manifestement porté sur des paysages. Si, pour l’un, il s’agit de paysages urbains renvoyant à toute une culture underground contemporaine, les paysages de l’autre nous plongent dans l’univers bien particulier d’une Forêt magique, pleine de maléfices.  Dans les deux cas et bien que s’agissant de deux univers très spécifiques, leur mise côte à côte révèle, par contagion,  des similitudes et des effets de sens imprévus. Sans aller jusqu’au gigantisme de la « Jungle » de LAM, Jean-Marc HUNT affecte les grands formats et utilise, comme lui, le procédé du marouflage pour coller des dessins initialement réalisés sur papier.  Le moindre espace du tableau  est alors occupé, par surcharge parfois, pour exprimer la densité d’un environnement qui semble étouffer l’individu. Une jungle grouillante de vie mais dangereuse, lieu de menaces, d’agressions et de périls, parsemée de têtes de mort. Mais alors que l’espace de l’artiste  cubain obéit à une construction verticale, la jungle urbaine de l’artiste guadeloupéen, répond au principe d’empilement de bandes  elles-mêmes constituées  de vignettes, qui  forment finalement une superposition  de planches de bande dessinée. Comme autant d’étages d’un immeuble. A ces dessins, HUNT ajoutera ensuite des collages, des griffures, mêlant librement  des techniques appartenant à différents genres. Et bien sûr de la peinture. Mais dans des teintes délavées. De la peinture qu’il laisse volontairement couler ou avec laquelle il va recouvrir, en la délavant ici encore, les dessins initiaux. Pour lui donner une profondeur, à la fois spatiale et temporelle. Mais aussi pour suggérer l’usure du temps et la trace laissée par les intempéries sur les affiches placardées des murs de la Ville. La dizaine de toiles exposées font partie d’une même série, intitulée « Street », l’identification de chacune étant ensuite liée à une inscription qui contribue à lui donner sa coloration à la fois humoristique et ouvertement contestataire, « Street free DOM/TOM », ou « Street Love », « Street Loco » ou même « Street Sarkiste ». Cette dernière ne pouvant être, on s’en doutait, que d’une dimension plus petite. Kelly SINNAPAH, elle, est une très jeune artiste qui expose pour la première fois. Elle nous dévoile ses dessins, des dessins surchargés de feuillages et de personnages évanescents, aux côtés  d’un troublant collage à la résine, celui d’un oisillon mort. Trois toiles, très sombres, sont accrochées aux murs. Leurs titres évoquent le mystère, l’au-delà, « Elévation », « Messagère ». De même que leurs motifs : un oiseau noir (de malheur ?) punaisé de petits ex-voto de papiers roulés, un étrange petit homme vert à la tête de vieillard ou encore une composition surréaliste à la manière de LAM, associant une chaise avec ce qui apparaît comme des branches-membres. Toutefois, le plus curieux et peut-être le plus original, réside dans une troisième catégorie d’œuvres : des draps peints suspendus, parfois tendus, parfois tombant en plis drapés ou en déchirures. De véritables linges de maison, nous confie l’artiste, à la fois intimes et secrets, qui donnent leurs noms à la série : « Substituts ». Ne révélant une partie de leurs secrets qu’à ceux qui acceptent de  passer de « l’autre côté » de la toile, peinte en réalité des deux côtés. Afin que, derrière l’entremêlement des feuilles et des nervures, apparaissent par transparence d’autres feuillages, d’autres nervures. Donnant l’impression d’une toile en trois dimensions, sur laquelle se détachent parfois le tracé d’un visage impassible d’un « dormeur », ou un espace vierge esquissant une forme. A la façon d’un suaire. Nul doute que Kelly SINNAPAH n’a fait que soulever très légèrement le voile d’un imaginaire où s’enchevêtrent et se superposent les éléments d’une jungle qu’elle s’efforce elle-même de pénétrer. Le lien entre les deux univers de Jean-Marc HUNT et de Kelly SINNAPAH  se trouve renforcé par la présence, au milieu de l’atelier-forêt d’un énorme « Champignon » rouge-orangée, une installation à dimension variable, obtenue par empilement de cônes au moyen desquels  la DDE signale la présence de travaux sur la chaussée. Si les « œuvres récentes » de  ces artistes évoquent bien Wifredo LAM, leurs « jungles », à près de soixante-dix ans d’écart, s’inscrivent dans des problématiques très différentes, à la fois artistiques et personnelles. Une problématique qui, chez HUNT, relie le Street art  avec le concept développé par Edouard GLISSANT de « Chaos monde ». Celle, chez Kelly SINNAPAH d’une plongée dans une inextricable profondeur, hors de l’espace et du temps, où il serait possible de se fondre. Sans se perdre

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2011 Groupshow Fondation Clément

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Jeunes plasticiens de Guadeloupe group show du 25 mars au 1er mai 2011 Fondation Clément, François Martinique Fwi   curator : Michel Rovélas

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